Inde

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République de l’Inde
(hi) भारत गणराज्य
Drapeau de l'Inde.svg Emblem of India.svg
Drapeau Blason
Devise (hi) सत्यमेव जयते
Seule la vérité triomphe
Localisation
530px-India map blank .jpg
Géographie
Capitale New Delhi
Plus grande ville Bombay
Superficie 3 287 263 km2
Rang Classé 7e
Pays frontaliers Pakistan Pakistan
Chine Chine
Népal Népal
Bhoutan Bhoutan
Bangladesh Bangladesh
Birmanie Birmanie
Démographie
Population (2019) 1 393 409 000 habitants
Rang Classé 2e
Densité 424 habitants/km2
Gentilé Indien, Indienne
Langue(s) officielle(s) Hindi, bengali, telugu, marathi, tamoul, gujarati, malayalam, kanaran , urdu, anglais punjabi, konkani, kannada , manipuri, assamese, hindustani, kashmiri, dogri, ladhaki et plusieurs d'autres langues
Politique et fonctionnement
Formation Indépendance du Royaume-Uni
Date 1947
Type de gouvernement République fédérale démocratique
Président de la République Ram Nath Kovind
Premier Ministre Narendra Modi
Monnaie Roupie indienne
Domaine Internet .in
Indicatif téléphonique +91
Économie
Indice de développement humain (IDH) 0,647
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L'Inde — en anglais : India ; en hindi : भारत - Bharat (cf "L’Inde va-t-elle changer de nom pour s’appeler «Bharat» ?" dans Le Figaro du 05.09.20231) — dont le nom officiel actuel est la république de l'Inde, est un grand pays d'Asie du Sud. Sa superficie est d'environ 3 287 000 kilomètres carrés (soit quasiment 6 fois la France métropolitaine) et sa population est de 1,393 milliard d'habitants (soit 21 fois la population métropolitaine française). Actuellement presque aussi peuplée que la Chine, l'Inde la dépassera bientôt car sa croissance démographique est plus importante. New Delhi est la capitale de l'Inde et la ville la plus peuplée est Mumbai (anciennement Bombay). La monnaie est la roupie indienne.

Le président de la république de l'Inde est Ram Nath Kovind.

Depuis 2014, le Premier ministre est Narendra Modi.

Histoire[modifier | modifier le wikicode]

Le Taj Mahal est un mausolée construit au XVIIe siècle à Agra en Inde;
Pour en savoir plus, lis l’article : Histoire de l'Inde.
Pour en savoir plus, lis l’article : Indépendance de l'Inde.

L'histoire moderne de l'Inde est liée au Royaume-Uni, qui la colonisa à partir du XVIIIe siècle jusqu'en 1947, date à laquelle elle reprend son indépendance notamment grâce au célèbre Gandhi.

Durant le IIe millénaire av. J-C, des tribus de pasteurs parlant une langue indo-européenne envahirent, à partir du nord-ouest, tout le sous-continent indien. En s'installant dans la vallée du Gange, elles y assimilèrent les cultures qui les avaient précédées.

Relief de l'Inde[modifier | modifier le wikicode]

L'Inde possède trois grandes régions naturelles :

Les grandes chaînes frontalières et le Rajasthan[modifier | modifier le wikicode]

Montagnes dans le nord-ouest de l'Inde. Contreforts de l'Himalaya.

L'Himalaya est la principale et la plus haute (le Kanchenjunga, plus haut sommet de l'Inde culmine à 8 598 mètres) ; le Karakoram la prolonge au nord-ouest. Les énormes quantités de sédiments provenant de l'érosion de ces montagnes se sont accumulées au sud. Ils ont été plissés à l'ère tertiaire pour former les basses montagnes des Silawiks. De gigantesques glaciers occupent les vallées et alimentent le Gange, l'Indus et leurs affluents. On constate avec le changement climatique actuel une diminution sensible de ces glaciers. C'est une région où il y a des tremblements de terre fréquents. À l'ouest se trouve au contraire une région assez plate, le plateau du Rajasthan, qui s'étend entre le Pendjab et le Gujarat en débordant sur le Pakistan. Son altitude varie de 100 m à 300 m. L'Est et Le Sud-Est du Rajasthan sont fertiles et peuplés tandis que l'Ouest est occupé par le désert de Thar, une zone steppique d"environ 200 000 km2. Ce désert habité est séparé de la plaine de la Chambal (sous-affluent du Gange) par la chaîne des Aravalli.

Dans le Nord, la plaine du Gange[modifier | modifier le wikicode]

Au sud de l'ensemble montagneux, se déploie la grande plaine indo-gangétique. Elle correspond à la ligne de séparation de plaques tectoniques profondes de plusieurs milliers de mètres. Cette dépression a été comblée par les énormes dépôts alluviaux apportés par les rivières du Pendjab se réunissant avec l'Indus. Plus en aval, c'est le Gange qui ajoute ses limons. La fonte des neiges sur l'Himalaya et les pluies d'été causent souvent des crues importantes qui provoquent des inondations catastrophiques, en particulier vers l'est, dans le Bengale. La basse vallée du Gange est formée par un delta où coulent principalement le Gange et le Brahmapoutre. Cette embouchure commune constitue la majeure partie du territoire du Bangladesh. Le Brahmapoutre, né dans les hauts plateaux tibétains, reçoit ensuite les eaux de la Lohit River. Le fleuve poursuit son cours dans le Nord-Est de l'Inde et plus particulièrement dans les États de l'Arunachal Pradesh et de l'Assam. Il rejoint ensuite la Padma (autre nom du Gange au Bengale).

Plus au sud, le plateau du Dekkan[modifier | modifier le wikicode]

Le plateau du Dekkan occupe l'essentiel de la péninsule indienne. Le socle est formé de roches cristallines. Il a été soulevé et disloqué. Il est recouvert de sédiments, mais aussi d'épaisses couches de basalte. Le Dekkan est séparé au nord de la plaine indo-gangétique par la vallée de la Narmada et par une chaîne de montagne d'altitude assez faible (de 300 à 900 m), les monts Satpura. Pourtant, ces montagnes constituent une séparation suffisamment franche pour constituer un élément important du paysage indien. Le Dhupgarh culmine cependant à 1350 m et le panorama depuis le sommet constitue ainsi une attraction touristique. Les bordures du plateau forment les Ghâts occidentaux et orientaux qui forment des escaliers abrupts jusqu'à 2 600 mètres d'altitude par rapport aux plaines alluviales et aux deltas donnant sur la côte de Malabar ou sur la côte de Coromandel. L'Anamudi est le sommet des Ghâts occidentaux avec une altitude de 2 695 mètres. Les Ghâts orientaux forment le rebord du plateau faisant face au golfe du Bengale. Moins haute que sa sœur de l'ouest, la chaîne de montagnes est aussi plus discontinue. Si son altitude moyenne ne dépasse guère 700 m, son point culminant atteint 1 680 m à l'Arma Konda. Le socle du plateau renferme de grandes richesses minérales (houille, métaux et pierres précieuses).

Climat de l'Inde[modifier | modifier le wikicode]

L'Inde a un climat tropical ou subtropical (climat intermédiaire entre tropical et tempéré). Si le sud de l'Inde ne connaît pas de saison froide, ce n'est pas le cas plus au nord où il y a de vrais hivers (bien que le gel soit rare). Le territoire indien est localisé de part et d'autre du tropique du Cancer. Vu sa position en latitude, l'Inde devrait être un désert. Il n'en est rien, grâce au phénomène climatique de la mousson d'été.

Les moussons[modifier | modifier le wikicode]

Mousson d'hiver[modifier | modifier le wikicode]

De septembre à mars, la mousson d'hiver apporte de l'air sec et frais provenant de l'Asie occidentale. L'air se déplaçant vers le sud se réchauffe progressivement. Il ne fait pas trop chaud (18 ℃ en janvier à Calcutta). Par contre, au printemps, la température s'élève et la sécheresse s'accentue. Il fait 30 ℃ en moyenne à Calcutta en mai. Les conditions de vie deviennent insupportables : ceux qui le peuvent se réfugient dans les régions plus élevées où l'air est plus frais.

Une rue de Bombay, inondée par la mousson d'été.

Mousson d'été[modifier | modifier le wikicode]

En juin commence la mousson d'été. L'air humide et chaud de l'océan Indien est attiré par les basses pressions continentales créées au-dessus de terres surchauffées. Des pluies très importantes tombent sur les reliefs exposés au trajet des vents venant du sud. Il tombe 1,50 mètre de pluie à Calcutta entre mai et octobre. Les masses d'air bloquées dans leur trajet par les hauteurs de l'Himalaya stagnent sur l'Inde et y déversent leur eau (il tombe près de 12 mètres par an à Tcherrapunji, dans l'Est de l'Inde). Cependant, cette mousson d'été n'est pas régulière dans son commencement, son intensité et sa durée.

Seule la chaîne de l'Himalaya connaît des hivers très froids et des étés frais en raison de l'altitude.

Trois régimes de pluies[modifier | modifier le wikicode]

La répartition des pluies crée trois Indes.

L'Inde sèche, à l'ouest[modifier | modifier le wikicode]

L'Inde sèche (avec moins de 500 millimètres annuels de pluie) est dans l'ouest. La végétation est une steppe à arbustes épineux et même un désert (désert de Thar, où la mousson d'été ne parvient pas). Une seule récolte annuelle de blé ou de millet est possible, il faut irriguer.

L'Inde intermédiaire[modifier | modifier le wikicode]

L'Inde intermédiaire, avec 500 millimètres à un mètre de pluies, se trouve dans le plateau du Dekkan et dans la moyenne vallée du Gange. Le paysage végétal naturel est la savane. C'est là que les irrégularités de la mousson d'été posent le plus de problèmes. On y cultive le blé et le millet, mais l'irrigation est indispensable pour assurer les récoltes.

L'Inde humide[modifier | modifier le wikicode]

L'Inde humide, où il tombe plus d'un mètre d'eau, est localisée dans la moitié est de l'Inde, dans la région côtière des Ghâts occidentaux bordant la mer d'Arabie, ainsi que dans la partie nord de la plaine gangétique. La végétation naturelle y était la forêt dense (la jungle indienne). Mais celle-ci a été défrichée pour laisser la place aux champs. L'abondance de l'eau de pluie y permet la riziculture. Deux récoltes sont possibles chaque année (une à la saison humide et une à la saison sèche).

Les fleuves principaux sont l'Indus qui, avec ses affluents, draine surtout le Pakistan ; le Gange et le Brahmapoutre qui ont un delta commun au Bengale.

La population de l'Inde[modifier | modifier le wikicode]

charmeur de serpent

La deuxième population du monde[modifier | modifier le wikicode]

L'Inde est en population le deuxième pays du monde derrière la Chine et devant les États-Unis, mais elle est sur le point de dépasser la Chine et sera bientôt le pays le plus peuplé de la planète. Sa densité moyenne est très élevée (424 habitants par kilomètre carré, soit huit fois la moyenne mondiale en ne comptant que les terres émergées) et la population se concentre le long des fleuves et des littoraux. Le désert du Thar et l'Himalaya sont les régions les moins peuplées.

Une forte augmentation annuelle[modifier | modifier le wikicode]

La population de l'Inde augmente rapidement. En 1951, il y avait 361 millions d'habitants ; ils étaient 683 millions en 1981 et sont plus de 1 210 millions au recensement de 2011 (probablement plus de 1 380 millions aujourd'hui). Cette augmentation pose le redoutable problème d'assurer la nourriture, l'instruction et l'emploi à des dizaines de millions d'individus supplémentaires chaque année. Cette augmentation considérable est due à une baisse très sensible de la mortalité et à une natalité qui reste élevée. La mortalité qui était très élevée dans les années 1950 (environ 40 décès pour 1 000 habitants) est voisine de 12 pour mille aujourd'hui. Ce progrès est surtout spectaculaire avec l'effondrement de la mortalité infantile grâce aux soins médicaux (vaccination) et à une meilleure alimentation des mères et des enfants. Par contre, la natalité reste préoccupante. Les femmes indiennes avaient près de 6 enfants en 1951, elles en ont encore plus de trois aujourd'hui. Pourtant dès 1951, le gouvernement indien a mené une politique antinataliste, comme le recul de l'âge au mariage (18 ans pour les femmes et 21 ans pour les hommes). Des mesures contraignantes de stérilisation masculine ont été appliquées en 1975–1976, elles ont causé le renversement du gouvernement d'Indira Gandhi en 1977 et ont été alors abandonnées. Actuellement des efforts sont faits pour développer la contraception.

Jeunes musulmanes du Ladakh (Nord-Ouest de l'Inde)

Diversité des Indiens[modifier | modifier le wikicode]

En raison de son étendue spatiale et de son histoire, l'Inde a une population très diverse. La plus grande partie de la population relève du groupe des Aryens (peau blanche) qui, à partir de l'Iran actuel, ont envahi l'Inde au milieu du deuxième millénaire av. J-C Ils ont refoulé vers le sud les plus anciens habitants, les Dravidiens (peau noire). En Inde on parle plus de 650 langues dont une quinzaine ont des effectifs importants. Chaque région a une langue dominante que souvent le gouvernement local tente d'imposer face au hindi. Deux langues officielles permettent aux Indiens de communiquer : l'anglais langue de l'ancien colonisateur, surtout utilisée par les élites et le hindi. Les systèmes d'écriture sont très variés.

Diversité des religions[modifier | modifier le wikicode]

En Inde, il y a plusieurs religions. Plus de 80 % des Indiens sont hindous ; mais de nombreuses religions sont pratiquées parmi lesquelles l'islam introduit dès le VIIIe siècle par les conquérants arabes et renforcé par les conquérants mongols (les musulmans représentent plus de 10 % de la population), le bouddhisme (philosophie d'origine indienne, née au VIe siècle av. J-C, mais peu pratiquée en Inde), le sikhisme (environ 2 %, très nombreux au Pendjab), le jaïnisme apparu au VIe siècle av. J-C et le christianisme introduit à partir du XVIe siècle par les colonisateurs portugais, néerlandais, anglais et français (les chrétiens comptent pour 3 % de la population). Il n'y a pas de religion officielle imposée. Les relations entre hindous et musulmans sont parfois violentes (émeutes, attentats…).

L'hindouisme est très présent dans la vie quotidienne des Indiens, surtout dans les campagnes. La religion marque la naissance, le mariage et la mort : les personnes qui meurent ne sont pas enterrées mais incinérées sur un bûcher allumé par le fils. La société traditionnelle indienne est divisée en castes qui sont des groupes hiérarchisés et fermés.

Les grandes villes[modifier | modifier le wikicode]

Trois agglomérations dépassent 14 millions d'habitants : Bombay, Delhi et Calcutta2. Trois autres villes concentrent de 5 à 7 millions d'habitants : Chennai, Bangalore et Hyderabad.

Pour en savoir plus, lis l’article : Liste de villes d'Inde.

Autres villes[modifier | modifier le wikicode]

Les langues indiennes[modifier | modifier le wikicode]

La première langue officielle de l'Inde est le hindi. L'anglais est la seconde langue officielle, et l'Inde compte un très grand nombre de langues et dialectes locaux, c'est un des pays les plus diversifiés au monde sur le plan linguistique.

22 de ces langues sont officiellement reconnues par la constitution de l'Inde

Pour en savoir plus, lis l’article : Langues de l'Inde.

La culture[modifier | modifier le wikicode]

La fête des couleurs[modifier | modifier le wikicode]

La Holi, appelée parfois "fête des couleurs" en France, est une des plusieurs fêtes religieuses hindoue célébrant l'arrivée du printemps. Elle est fêtée durant deux jours au cours de la pleine lune du mois de Phalguna qui se situe en février ou mars.

Célébrée surtout en Inde du nord, elle est l'occasion pour les hindous d'asperger leur famille et leurs amis de pigments de couleurs (originellement de la cendre) tout en dansant et festoyant dans la rue.

Elle est aussi et surtout le seul jour de l'année où toutes les castes de la société indienne se mêlent.

Les rites funéraires3[modifier | modifier le wikicode]

En Inde, la mort n'est pas forcément un sujet tabou, elle est considérée comme une libération de l'état où nous sommes pour passer à un état meilleur. Beaucoup d'Hindous croient en la réincarnation, ils pensent qu' à la fin du cycle des réincarnations, l'âme du mort se dirige vers leur paradis : le Nirvana. Leurs cérémonies funéraires sont très différentes des cérémonies françaises.

Avant la cérémonie, lors de la toilette rituelle, la famille prépare le corps selon les traditions : le mort est lavé, baigné dans de l'eau parfumée, puis recouvert d'un linceul blanc, symbole de pureté de l'âme. En attendant la crémation, lors de la veillée funéraire, la famille veille sur le corps au domicile ou au funérarium. La présence familiale auprès du défunt est obligatoire dans la religion hindouiste. Le corps du défunt est recouvert de fleurs, en général des œillets (fleurs sacrées en Inde), sous forme de couronnes. Selon l'Hindouisme, la crémation est une obligation, car l'âme ne peut se détacher du corps qu'après la crémation qui doit être effectuée le plus rapidement possible. Les cendres sont dispersées de préférence dans le Gange pour ceux qui habitent au nord, ou dans un fleuve ou dans la mer.

Économie[modifier | modifier le wikicode]

L'Inde a connu d'importants changements économiques : l'agriculture a été modernisée. La révolution verte est une politique qui fut mise en place après la famine de 1966 qui fit des milliers de morts. Le but était d'améliorer les récoltes. L'irrigation, la sélection des graines, l'utilisation d'engrais ont été encouragés. Les rendements en céréales ont fortement augmenté : aujourd'hui l'Inde parvient à nourrir sa population et même à exporter du riz. Mais les petits paysans ont dû s'endetter pour moderniser leur production. Cela a renforcé l'exode rural et provoqué une dégradation de l'environnement.

L'Inde est devenue une puissance industrielle. Elle a d'abord développé sa production textile et sidérurgique. Aujourd'hui, l'Inde investit dans les industries de pointe : le nucléaire, l'informatique, la production de logiciels. C'est grâce à cela que l'Inde est la 11e économie de la planète4. Ce résultat est toutefois à relativiser avec la population et le produit intérieur brut par habitant en Inde est en réalité huit fois plus faible qu' en France.

Quelques chiffres sur l'Inde en 20055
Inde Chine France
Densité (hab. /km²) 335 137 112
Espérance de vie (années) 63 71 79
Population urbaine (%) 29 40 76
IDH 0,602 0,755 0,942
PIB/hab. ($) 3344 7204 27 600

Voir aussi[modifier | modifier le wikicode]

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Relations internationales
Les grands sites de l'Inde
Personnalités nées en Inde
Quelques villes de l'Inde
et aussi

Liens externes[modifier | modifier le wikicode]

Notes[modifier | modifier le wikicode]

  1. https://www.lefigaro.fr/international/l-inde-va-t-elle-changer-de-nom-pour-s-appeler-bharat-20230905
  2. D'après populationdata.net.
  3. http://lamortfaitpartiedelavie.com/lire-et-decouvrir/le-tour-du-monde-de-la-mort-3e-etape-l-inde/
  4. D’après la liste du FMI valable de 2006 à 2009.
  5. D’après les données de Bertrand Badie, Béatrice Didiot (dir.), L'État du monde 2007, Paris, La Découverte, 2006, p. 388–389 ; les chiffres pour la France viennent de Wikipédia.
Pays d’Asie
Asie centrale et du Nord
Asie de l’Ouest
Asie de l’Est
Asie du Sud
Asie du Sud-Est
Article mis en lumière la semaine du 9 novembre 2009, la semaine du 22 novembre 2010.
Article mis en lumière la semaine du 21 octobre 2019.
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12° 35′ N 75° 48′ E / 12.59, 75.8