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Michel Vinaver

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Michel Vinaver
Nom officiel Michel Grinberg
Surnom Michel Vinaver
Naissance 13 janvier 1927
Lieu de naissance Paris
Date de décès 1er mai 2022 (à 95 ans)
Lieu de décès Paris
Nationalité France
Profession Dramaturge et homme d'affaires
Occupation Écrire des pièces de théâtre
Formation Licence de lettres
Famille Léon Grinberg (père), Sophie Vinaver (mère)
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Michel Vinaver est un auteur qui a écrit des pièces de théâtre, né le 13 janvier 1927 à Paris et mort le 1er mai 20221. Il a aussi été président-directeur général de la société Gillette France de 1966 à 19822.

Ses pièces de théâtre sont connues pour parler de la vie ordinaire, du quotidien et du travail, en utilisant le langage de tous les jours. Elles sont aussi connues pour ses décors parfois très simples3.

Biographie[modifier | modifier le wikicode]

Jeunesse[modifier | modifier le wikicode]

Michel Vinaver est né à Paris durant l'entre-deux-guerres. Il a des origines juives du côté de sa mère, Sophie Vinaver4. Celle-ci est avocate et son père, Léon Grinberg, est antiquaire. Enfant, déjà, il aime écrire, puisqu'il écrit sa première pièce de théâtre à neuf ans5. À cause de la Seconde Guerre mondiale et de la persécution contre les juifs, Michel et sa famille doivent fuir aux États-Unis en 19406. De 1944 à 1945, il s'engage dans l'armée française.

Formation[modifier | modifier le wikicode]

Michel Vinaver ne pas va côtoyer qu'une seule école, mais il va faire ses études à Paris, Cusset, Annecy et New York. Il termine des études universitaires en obtenant un Bachelor of Arts aux USA en 1947. Ensuite, il continue d'étudier à Paris et obtient une licence libre de lettres à l'université de la Sorbonne en 19517. En 1953, il écrit sa première nouvelle, qui s'appelle J'ai trouvé ma voie. Il commence aussi à traduire des poèmes d'un écrivain britannique, T. S. Eliot. Michel Vinaver avouera plus tard que ce travail de traduction l'a beaucoup inspiré8.

Vie professionnelle[modifier | modifier le wikicode]

En 1953, Michel Vinaver commence à travailler dans l'entreprise Gillette, connue pour ses produits de rasage pour homme. Là-bas, il est d'abord stagiaire, mais devient le chef de l'entreprise treize ans plus tard2. Après, il préside l'entreprise S.T. Dupont. Il quitte le monde des affaires après vingt-sept années de travail.

Dès 1982, Michel Vinaver ne se consacre plus qu'au théâtre et à la littérature. Il enseigne ensuite le théâtre à l'université Paris III-Censier. En 1988, il devient professeur d'études théâtrales à l'université Paris-VIII.

Vie privée[modifier | modifier le wikicode]

Il épouse Catherine Le Tellier le 2 mai 1957 à Paris. Ils ont une fille, nommée Anouk Grinberg, en 1963. Finalement, le couple divorce en 1990. Sa petite-nièce est Louise Grinberg, une actrice française.

Les débuts[modifier | modifier le wikicode]

Avant le théâtre[modifier | modifier le wikicode]

Étant jeune, Vinaver est déjà passionné de littérature, écrit des textes et côtoie des personnalités qui viennent de ce monde.

Correspondance avec Camus[modifier | modifier le wikicode]

À 19 ans, Michel Vinaver rencontre l'écrivain Albert Camus à New York. Ils se voient la première fois à une conférence et deviennent peu à peu ami9. Albert Camus va avoir le prix Nobel de littérature (le prix le plus prestigieux mondialement). Il connaît donc bien le métier d'écrivain. Il entretient une correspondance avec Vinaver afin de parler de littérature. À ce moment, Vinaver se met à comprendre que, selon lui, l'écrivain n'a pas de message à délivrer et n'a pas de responsabilité vis-à-vis des gens ou de la société9. Ceci est très différent de la pensée de Camus, car celui-ci dénonce les aspects dangereux de la société, comme dans son livre La Peste.

Les romans[modifier | modifier le wikicode]

Bien que Michel Vinaver soit dramaturge, il a écrit des romans, ce qui n'est pas la même chose. Son tout premier livre s'appelle Lataume et est publié aux éditions Gallimard en 1950. À cause de son style, on le compare à Boris Vian. Son deuxième roman sort en 1951 et s'appelle L'Objecteur, encore aux éditions Gallimard. Cette fois, on le compare au roman L'Étranger de son ami Albert Camus10.

Il écrit son dernier roman, Les aventures de Jean Patamorfoss, en 1953. Il s'agit d'un livre pour enfant10. Durant cette période, il continue son travail de traducteur.

Contexte[modifier | modifier le wikicode]

La seconde guerre mondiale a été tellement bouleversante que beaucoup de changements sont arrivés après en Europe. Même les arts et la culture ont changé. En France, particulièrement, beaucoup de genres artistiques modifient leurs pratiques, car les artistes veulent un renouvellement11.

Théâtre engagé[modifier | modifier le wikicode]

Ainsi, l'Europe a été très troublée à cause de la guerre. Alors, les artistes s'engagent et veulent affirmer leurs points de vue sur la société. Ils veulent que le théâtre incite le public à penser, à réfléchir sur le monde. L'écrivain Jean-Paul Sartre est très connu pour avoir fait cela durant sa carrière. Il va même plus loin, en ajoutant de la philosophie dans ses œuvres théâtrales, ce qui est nouveau pour l'époque. On pense alors que le public ne doit pas aller au théâtre que par plaisir, mais aussi pour apprendre et penser11.

Nouveau théâtre[modifier | modifier le wikicode]

Mais le "théâtre engagé" n'est pas le seul genre qui est imposé. Il en existe un autre, complètement différent : le Nouveau théâtre. Ceux qui pratiquent ce nouveau genre veulent susciter chez le public de l'émotion, au lieu de le faire penser12. Pour ce faire, ils écrivent volontiers des pièces "absurdes". Une des plus connues est En attendant Godot de Samuel Beckett, écrite en 1953. Ce genre est tellement différent des anciennes pièces de théâtres qu'il va apporter beaucoup de nouvelles idées auprès des autres artistes.

Œuvre[modifier | modifier le wikicode]

Le "théâtre du quotidien"[modifier | modifier le wikicode]

L'expression du "théâtre du quotidien" désigne un genre qui est venu après, à partir de 197013. Les dramaturges veulent faire des pièces réalistes, qui parlent de la vie quotidienne, de la société actuelle et des personnes souvent oubliées du théâtre, que l'on considérait avant comme pas importantes14. Donc, ce "théâtre du quotidien" veut montrer la vie ordinaire. C'est avec ce genre que Michel Vinaver commence réellement le théâtre et se fait connaître. Pour écrire, il s'inspire du quotidien, de la langue parlée de tous les jours et du monde du travail3. Tous ces thèmes se retrouvent dans les pièces Dissident, Nina, c'est autre chose et Les Travaux et les Jours.

La mise en scène[modifier | modifier le wikicode]

Michel Vinaver a un rapport particulier avec la mise en scène. Mettre en scène une pièce est importante, car cela va déterminer le résultat des représentations. On y décide du décor, des gestes des comédiens, de l'intonation, etc. Pour Vinaver, les metteurs en scène ont parfois trop de pouvoir, et leurs décisions peuvent trop modifier la pièce de théâtre, alors qu'ils ne l'ont pas écrite15. Donc, il ne faudrait pas trop s'approprier les textes ou lui donner une valeur qu'il n'a pas, mais le laisser comme il est.

L'analyse de Vinaver[modifier | modifier le wikicode]

Michel Vinaver a inventé sa propre manière d'analyser des pièces de théâtres, et il va appliquer cette méthode dans ses pièces. Il distingue deux sortes de pièces : les "pièces machines" et les "pièces paysages"16. En gros, les "pièces machines" mettent l'accent sur l'intrigue, le suspens, les tensions à résoudre et l'action. Les personnages y sont en conflit et ont des caractères souvent opposés16. À l'inverse, dans les "pièces paysages", tous ces éléments n'ont pas d'importance. L'intrigue n'est pas le moteur de l'action. On porte alors l'attention sur la parole et les différentes choses qu'on nous montre, sans forcément les relier entre elles, comme dans la vraie vie. Ces choses se passent sans avoir de rapport, mais elles ont quand même lieu.

La méthode des "collages"[modifier | modifier le wikicode]

Pour que ses pièces soient vraiment des "pièces paysages", Michel Vinaver fait ce qu'il appelle des "collages". Sans utiliser une vraie colle, il va piocher des répliques qu'il a pu entendre ou lire, et les enchaîner dans les dialogues sans qu'il y ait de rapport entre elles8. Cela peut donner un sentiment d'absurde, mais le spectateur peut aussi donner beaucoup de sens à ces répliques qui semblent collées presque au hasard. Grâce à cela, Vinaver essaie de donner du sens à la vie quotidienne, qui parfois n'en pas pas autant, ou quand cela n'est pas visible15.

Le comique[modifier | modifier le wikicode]

Les pièces de Michel Vinaver ne sont pas faites pour faire rire, mais elle sont quand même drôles à certains moments. En mettant en scène des personnages parfois très sérieux, surtout dans leur travail, Vinaver montre une certaine absurdité de leurs propos, qu'ils croient pourtant très sérieux17. Vinaver donne cet effet grâce à sa méthode du "collage". Il superpose des propos qui, isolés, sont banals, mais qui deviennent comiques quand ils sont comparés et mis ensemble.

"Morceaux"[modifier | modifier le wikicode]

Normalement, les pièces de théâtre sont découpées en actes et en scènes. Les actes sont les parties principales, et les scènes sont les parties secondaires des actes. Michel Vinaver préfère diviser ses pièces en "morceaux". En faisant cela, il veut enlever le sentiment de hiérarchie : il n'y a alors pas de parties plus importantes qu'une autre18. Comme pour les collages, Vinaver ne veut pas mettre de l'ordre et donner l'impression de montrer des évènements qui n'ont pas forcément de rapport entre eux. C'est alors au public de reconstruire ces morceaux et donner du sens. Comme dans la vraie vie, Vinaver pense quec'est à nous de réfléchir sur le quotidien et de donner du sens à ce que l'on fait19.

Inspirations antiques[modifier | modifier le wikicode]

Le théâtre est un art très ancien et a été créé pendant l'Antiquité. Ce sont surtout les grecques qui ont inventé le théâtre que nous connaissons. Vinaver va beaucoup étudier cette période et s'en inspirer. Il va par exemple réécrire des mythes grecs, comme Les Choeurs pour Antigone, inspiré d'Antigone de Sophocle. Il veut instaure un va-et-vient entre le monde d'aujourd'hui et l'Antiquité15.

Les thèmes[modifier | modifier le wikicode]

Plusieurs thèmes sont présentes dans l’œuvre de Michel Vinaver. Ils reviennent plusieurs fois dans la plupart de ces pièces de théâtres.

Le monde de l'entreprise[modifier | modifier le wikicode]

Ce thème compte beaucoup pour l'auteur, puisqu'il a énormément travaillé dans les entreprises. Il en a même dirigé une. Il parle beaucoup de ce milieu en évoquant le chômage, la pression émotionnelle, la difficulté à trouver du travail et les relations entre les clients et les employés20.

Travail et vie privée[modifier | modifier le wikicode]

Cela reste dans le même thème que l'entreprise, mais n'est pas tout à fait pareil. Vinaver veut montrer que, à son époque, le travail commence à prendre beaucoup de place dans la vie privée, donc dans les moments où l'on ne devrait pas travailler. Aussi, il montre que le travail devient aussi important chez les gens que leur vie privée. Ils veulent se définir selon leur travail, alors que cela n'est pas la même chose que leur vie privée, quand ils sont seuls durant leur temps libre20.

Faits réels[modifier | modifier le wikicode]

Vinaver aime mettre en scène des sujets d'actualité ou des évènements qui sont vraiment arrivés. Par exemple, il fait une pièce de théâtre sur les attentats du 11 septembre 2001, un évènement qui a beaucoup traumatisé l'Occident. Dans sa pièce L'Ordinaire, il parle d'un accident d'avion qui a réellement eut lieu et où seules quelques personnes ont survécu. Parler de faits réels permet à Vinaver de parler du quotidien et de montrer sous un nouvel angle les choses que l'on connaît déjà21.

Écrits[modifier | modifier le wikicode]

Romans[modifier | modifier le wikicode]

  • Lataume (1950)
  • L’Objecteur (1951)
  • Les Aventures de Jean Patamorfoss (1953)
  • Les Histoire de Rosalie (1980)

Nouvelles[modifier | modifier le wikicode]

Parues dans The Wesleyan Cardinal :

  • « The Joker » (1946)
  • « Beloved Cottage » (1946)
  • « The Genesis of the W.M. » (1947)

Fables[modifier | modifier le wikicode]

  • Trois Fables, une enquête et l’histoire de J.B. (1998)

Pièces de théâtre[modifier | modifier le wikicode]

  • Les Corréens (1956)
  • Les Huissiers (1958)
  • Iphigénie Hôtel (1959)
  • Iphigénie Hôtel (version intégrale) (1960)
  • Iphigénie Hôtel (version brève) (1963)
  • La Demande d’emploi (1972)
  • Par-dessus Bord (version intégrale) (1972)
  • Iphigénie Hôtel (nouvelle version brève) (1976)
  • Dissident, il va sans dire (1978)
  • Nina, c’est autre chose (1978)
  • Les Travaux et les Jours (1979)
  • À la renverse (1980)
  • L’Ordinaire (1983)
  • Les Voisins (1986)
  • Portrait d’une femme (1986)
  • Par-dessus Bord (version super-brève) (1986)
  • L’Emission de télévision (1990)
  • Le Dernier Sursaut (1990)
  • King (1998)
  • L’Objecteur (2001)
  • 11 septembre 2001 (2002)
  • Les Troyennes (2003)
  • Par-dessus Bord (version hyper-brève) (2002)
  • Par-dessus Bord (version brève) (2004)
  • Bettencourt Boulevard ou une histoire de France (2014)

Essais[modifier | modifier le wikicode]

  • Les Anglais vus par eux-mêmes (1983)
  • Les Français vus par les Français (1985)
  • Le Compte rendu d’Avignon. Des mille maux dont souffre l’édition théâtrale et des trente-sept remèdes pour l’en soulager (1987)
  • Ecritures dramatiques (1993)
  • Ecrits sur le théâtre 1 (1998)
  • Ecrits sur le théâtre 2 (1998)
  • La Visite du chancelier autrichien en Suisse (2001)

Poésie[modifier | modifier le wikicode]

  • Lapiaz, anatomie d’un paysage (1982)

Traductions[modifier | modifier le wikicode]

  • Amour (1951) traduction du roman de Henry Green Loving (1945)
  • La Fête du cordonnier (1958) traduction de la pièce de Thomas Dekker The Shoemaker's Holiday (1600)
  • Les Estivants (1983), traduction de la pièce de Maxim Gorki (1903)
  • Le Suicidé (1986), traduction de la pièce de Nikolaï Erdman (1928)
  • La Terre vague, traduction du recueil de poèmes de T.S. Eliot The Waste Land (1922)
  • Jules César (1990), traduction de la pièce de William Shakespeare Julius Caesar (1599)
  • Le Temps et la Chambre (1991), traduction de la pièce de Botho Strauss Die Zeit und das Zimmer (1989)
  • Viol (2005), traduction de la pièce de Botho Strauss Schändung (2005) d’après Titus Androcinus de Shakespeare
  • Un mois à la campagne (2016), traduction de la pièce d’Ivan Tourgueniev Месяц в деревне (1850)
  • La Hauteur à laquelle volent les oiseaux (2009), traduction de la pièce d’Oriza Hirata (2009)

Correspondances[modifier | modifier le wikicode]

  • S’engager ? Albert Camus/Michel Vinaver (1946-1957)

Notes et références[modifier | modifier le wikicode]

  1. https://www.lemonde.fr/disparitions/article/2022/05/02/mort-a-95-ans-du-dramaturge-michel-vinaver_6124385_3382.html
  2. 2,0 et 2,1 https://www.lesechos.fr/2011/07/michel-vinaver-ou-la-double-vie-dun-pdg-1090649
  3. 3,0 et 3,1 Vincent, Jean-Pierre, Le Désordre des vivants, Besançon, Les Solitaires intempestifs, 2002, p. 45.
  4. https://www.jta.org/archive/maxim-vinaver-famous-russian-jewish-leader-dies-in-paris-at-63
  5. Diaz, Sylvain, « toute ce que vous avez toujours voulu savoir sur Michel Vinaver sans jamais oser le demander – Étude de la pratique vinavérienne de l’ " Auto-interrogatoire " », Les Entretiens d’artistes : de l’énonciation à la publication, actes de la journée d’étude de Rennes (24 février 2011), 2011, p. 138.
  6. https://www.la-croix.com/Culture/Theatre/Michel-Vinaver-temps-rasoir-2016-03-13-1200746331
  7. http://evene.lefigaro.fr/celebre/biographie/michel-vinaver-3989.php
  8. 8,0 et 8,1 Ubersfeld, Anne, Vinaver Dramaturge, Paris, Librairie Théâtrale, 1989.
  9. 9,0 et 9,1 « Michel Vinaver, dramaturge du réel », entretien avec Fabienne Darge, Le Monde 2, 24 janvier 2009, cité dans le cahier du TNP numéro 15, p.5.
  10. 10,0 et 10,1 Chemama, Simon. “L’œuvre Romanesque de Michel Vinaver: L’écriture Interstitielle.” Roman 20-50, vol. n° 54, no. 2, 2012, p. 138-144.
  11. 11,0 et 11,1 Viala, Alain, Histoire du théâtre, Paris : Presses Universitaires de France, « Que sais-je ? », 2012 [2005], p. 104-110.
  12. Viala, Alain (dir.), Le théâtre en France, Paris : Presses Universitaires de France, « Quadrige manuels », 2020 [2009], p. 484.
  13. Sarrazac, Jean-Pierre, « Vers un théâtre minimal », Jeu : revue de théâtre, no 10,‎ 1979, p. 5–10.
  14. Vinaver, Michel, Théâtre complet III, Paris, L'Arche, 2004, p. 96.
  15. 15,0 15,1 et 15,2 Vinaver, Michel, Écrits sur le théâtre I, Montreuil, éditions de l'Arche, 1998.
  16. 16,0 et 16,1 Vinaver, Michel, Écritures dramatiques: essais d’analyse de textes de théâtre, Arles, Actes Sud, 1993, p. 44.
  17. Ryngaert, Jean-Pierre, L’ironie contre l’esprit de sérieux, dans Michel Vinaver, Europe”, n° 924, Avril 2006.
  18. Ryngaert, Jean-Pierre, «Sur Michel Vinaver: Saisir le monde, entre ordre et désordre», Jeu,  n°19/2, 1981.
  19. Vinaver, Michel, «Analyse de fragment d'une pièce de théâtre», Littérature, n°138, 2005, p.26.
  20. 20,0 et 20,1 Boblet, Marie-Hélène, « Le theatrum mundi de Michel Vinaver », Esprit, Vol. 10, No. 358,‎ 2009.
  21. https://journals.openedition.org/agon/238
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