Le traité de Constantinople ou d'Istanbul est signé le 13 juillet 1700 entre le Tsarat de Russie et l'Empire ottoman. Il met fin à la guerre russo-turque de 1686-1700. Le tsar de Russie Pierre le Grand obtient la région d'Azov ce qui lui permet de libérer ses forces pour la grande guerre du Nord. Ce traité est supplanté par le traité de Fălciu en 1711, après l'intervention de l'Empire ottoman dans cette guerre.
En tant que membre de la Saint-Ligue, le tsar de Russie a combattu l'Empire ottoman lors de la guerre russo-turque de 1686-1700. Les autres membres de la Ligue ayant atteint leur but, ils conclurent une paix séparée avec le sultan Moustapha II au traité de Karlowitz en 1699, mais celui-ci avait complètement ignoré les intérêts russes.
Le traité est conclu le 13 juillet 1700 à Constantinople. Les deux partis instaurent une paix sensée durer trente ans. Les ottomans reconnaissent les possessions russes dans la région d'Azov.
Ils ont interdiction de construire des fortifications le long de la frontière. Les ottomans doivent aussi libérer les prisonniers de guerres russes et doivent libérer le passage pour la Terre Sainte aux pèlerins russes et qu'il y ait en permanence un représentant russe à Constantinople.
Cet article est la traduction d'un autre texte.
Il provient de Wikipédia anglais.
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