Utilisateur:Anonyme999/Brouillon
- Texte déposé le 27janvier 2015
Introduction[modifier | modifier le wikicode]
En 200 ans d'existence, l'automobile c'est vu progresser grâce à de nombreuses personnes. Ses caractéristiques et son utilisations ont elles aussi évolués, par exemple au début du 20ème siècle, l'automobile n'était pas accessible pour tous, et pourtant très utile, tandis qu'à la fin du 20ème siècle, les populations des pays riches possèdent près de 2 véhicules par foyer. Son évolution constante permet plusieurs choses comme rouler avec plus de sécurité, rouler plus vite etc... En Europe comme aux États-Unis les productions automobiles sont fabriqué en priorité dans les pays pauvre et assemblé dans les pays « riches ». On se pose maintenant la question suivante, comme l'utilisation des nouvelles technologies aux service de l'automobile peuvent elles aboutir à réduire les émissions de CO2. Pour répondre à la question posé nous commencerons par étudier dans un premier temps de l'évolution des technologies aux services de l'automobile puis nous analyserons, dans un deuxième temps les émissions de CO2 rejetées par les voitures, et pour finir nous parlerons des nouvelles automobiles écologiques. « -L'utilisation des nouvelles technologies aux service de l'automobile peuvent elles aboutir à réduire les émissions de CO2 ? »
Évolutions des technologies aux services de l'automobile[modifier | modifier le wikicode]
Depuis la création de l’automobile, l’Homme n’arrête jamais le progrès. En 1 siècle, l’automobile a subit beaucoup de changement, d’évolution, pour répondre à d’avantages de demandes. Beaucoup d’entreprises ont sut ce développer autour de cette société de consommation ( grpVW, PSA, etc...), Les plus grandes firmes automobiles ont développer des technologies pour pouvoir répondre aux nouveaux cahiers des charges qui ne fait que d’évoluer. En les développants, les constructeurs pensent souvent à réduire la consommation et les rejets de CO2, ce qui devient de plus en plus important ,au vu de la population mondiale qui ne fait que de s’accroître. La demande de cette population devient importante, malgré l’existence des transports en commun, les déplacements les plus longs se feront en voitures, par exemple se déplacer pour aller travailler, les gens habitants en banlieues prendront plutôt leurs voitures que les transports en commun, ce que est dut au manque de confort dans certains transports en communs. l’intérêt de ces nouvelles technologies permettent en partie de meilleures conditions de vies en métropoles, mégalopoles, petites villes, par exemple en Chine, à Shanghai, le taux de CO2 dans l’air atteints des pics allant jusqu’à 18 fois plus hauts que la normale, ce qui rends les conditions de vies pour ces habitants de plus en plus difficile, problèmes respiratoires, maladies .. Cet exemple est le cas le plus connu, qui est à prendre en exemple pour ne pas commettre les mêmes erreurs que la chine. De plus, quand une mégalopole atteints des pics de pollution dépassant plusieurs fois la normale, se sont tous les alentours qui sont concernées.
Au début du siècle dernier, beaucoup d'inventions et d'innovations ont vu le jour sans même que l'on s'en rendent compte, les freins, qui furent réinventer à l'aide de L’ABS ( anti blocage system) qui permet de ne pas bloquer les roues sur un freinage d'urgences, les système de direction, avec 2 ou 4 roues directrices, aujourd'hui le système plus connu et plus utiliser est le système à deux roues directrices. Il y a aussi le système d'admission qui fut très améliorer, et qui à permis d'économiser un peu plus le carburant et de gagner en puissance, avant, les voitures étaient munit de carburateur goulue, et pas souvent très bien réglés, remplacer par des pompes à essence qui sont plus précisent. De plus, certains constructeurs cherchent à s'améliorer dans le domaine de l'aérodynamique, qui est un facteur essentiel pour réduire les consommations et donc les rejets de Co2. Enfin les constructeurs qui modernisent leurs véhicules vont tout faire pour réduire les rejets de CO2, une voiture des années 1980 rejetait environ 20 % de co2 en plus qu’une voiture de 2010. En 2 siècles d’existences, les constructeurs automobiles ont développer beaucoup de technologies permettant de réduire les émissions de CO2, comme par exemple l’allégement des voitures, pouvant réduire la consommation et aussi les rejets de CO2, le développement des moteurs électriques, hybrides( moteurs thermique + moteur électrique), le e-hdi, tdie, ces moteurs assurent une baisse de consommation mais aussi des rejets de CO2. Par exemple, les alliages en carbone sont très résistants et surtout jusqu'à 2 fois plus léger selon les pièces que quand elles sont en aluminium, mais les constructeurs ne peuvent pas forcément produire des voitures de séries avec des alliages si performant, a cause de leur coût de constructions, ce qui ne serais pas assez rentable pour les constructeurs. Les grands constructeurs comme « Audi » se sont lancer dans la recherche de nouvelles énergies, plus performante, qui polluent moins une fois brûler, et consomment moins pour convenir à une demande de plus en plus exigeante (le e-gazole). Pour limiter ces rejets de CO2, certains constructeurs ont mit au point des technologies pour dépolluer comme le Bluetec®, ou DiNOx® (système d'injection d'un additif à base d'urée pour convertir les oxydes d'azote en azote simple) seront largement disponibles sur le marché, et la situation continuera à s'améliorer.
Certaines grandes firmes se sont mit en partenariat avec d'autres grands noms d'innovateur, comme le projet de peugeot avec sa 208 Hybrid Air est présentée par la marque au lion comme une petite révolution. Et sur le papier, on peut lui donner raison. Réalisée en collaboration avec Bosh, Faurecia, Michelin, Plastic Omnium et Valeo, ce prototype est doté d'un moteur hybride unique : mi-essence, mi-air comprimé. Le tout pour une consommation de carburant minimale, à 2,0 l/100km. Et destiné au grand public.
Les émissions de CO2 rejeté par les voitures[modifier | modifier le wikicode]
Ici on se demande si la consommation de CO2 doit baisser grâce à la technologie ou au contraire augmentée de par l’augmentation des véhicules produits et en services. L’éco-efficacité des véhicules mis sur le marché s’améliore : baisse de la consommation unitaire moyenne de carburant des voitures particulières en France (8,2 litres/100 km en 1990 et 6,8 litres/100 km en 2008) et des émissions moyennes de CO2 des véhicules neufs (176 g/km en 1995 et 140 g/km de CO2 en 2008). Les « classes vertes » A, B ou C (émissions de CO2 inférieures à 140 g/km) représentent 63 % du total des ventes de véhicules neufs en 2008 contre 29 % en 2002.
Selon l’Ademe (l'agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie), le bonus-malus aurait permis d’économiser 240 000 tonnes de CO2 en 2008. Mais si cette hausse des ventes de voitures moins polluantes s’explique donc en partie par la mise en place de ce bonus-malus en janvier 2008, elle est due aussi aux progrès réalisés par les constructeurs au niveau des motorisations : en 2002, seuls 32 modèles de voitures « vertes » émettaient moins de 120g/km, contre 470 modèles aujourd’hui.
On constate donc que la consommation en CO2 par automobile baisse.
6,56 voitures était produites et vendues chaque seconde dans le monde en 2012, soit 8,8% de plus qu'en 2011, notamment grâce à la Chine, devenue premier marché automobile mondial. Il faut attendre 1915 pour atteindre le million de véhicules produits, mais il suffit ensuite de deux années pour doubler ce chiffre.
En 2007 il y avait plus d'un milliard de véhicules en services dans le monde et avec une augmentation trois fois plus rapide que celle de la population mondiale, d'ici 2020, nous serons près des deux milliard de voitures en services dans le monde et Selon les Nations Unies, le parc automobile mondial devrait tripler d'ici 2050 alimenté à 80% par les économies en développement. On désigne parfois, de façon abusive, par l'expression «véhicule propre» un véhicule produisant peu ou pas d'émission polluante par personne ou par unité de charge transportée, lorsque le véhicule est stationnaire ou en mouvement.
Il faut bien comprendre qu'en pratique, aucun véhicule n'est totalement «propre» car : - Pour le construire, il faut des matières premières et de l'énergie qui causent des pollutions lors de l'extraction ou de la production - Durant sa vie, un véhicule utilise des éléments polluants comme les pneus ou les batteries - En fin de vie, tout véhicule représente une certaine quantité de déchets - L'énergie nécessaire pour les véhicules motorisés est cause de pollution, que ce soit à l'usage (moteurs thermiques) ou en amont (moteur électrique, moteur à air comprimé, etc)
On peut voir que les voitures ont bien évolués depuis leurs inventions, avec depuis les années 70 et les problèmes de pollutions qui posèrent problème à partir de cette époque, une grande prise de conscience à été faites pour essayer de faire des voitures plus propre mais en sachant bien, avec de la lucidité, que l'on ne peut pas avec nos moyens à ce jours faire des voitures totalement propre. Mais un deuxième problème se pose avec la montée exponentielle de la production de voitures, c'est de garder une courbe d’émissions de CO2 à peu près stable avec les deux paramètres du nombre de véhicules en services et de nos avancées technologiques en ce qui concerne la pollution.
Nouvelles automobiles écologiques[modifier | modifier le wikicode]
les nouvelles automobiles se basent surtout sur une écologie pour l’environnement et le CO2. L’automobile écologique est une solution présentée pour remédier aux problèmes de la pollution dans les villes et de l’épuisement des ressources pétrolières. Dans les automobiles écologiques on peut trouvé des automobile hybrides, automobile électrique, automobile a azote (moteur a air comprimé), et les automobiles utilisant de l’hydrogène. Ces nouveaux modèle peuvent pratiqué de certaine distance (100-200km) sans émission polluante. Comme les voiture « écologique » pollue moins que les automobiles a essence ils sont favorisés. L’intérêt de l’automobile écologique serais de baissé les émissions de CO2 pour pouvoir inversé le pic de pollution. De plus ces automobile sont plus silencieuses donc offre un confort supplémentaire pour son entourage. Elles sont donc très demandé pas le Ministère économique en France, puisqu’elles ne rejettes aucun gaz polluant. La plus grande force de cette catégorie de voitures écologiques repose sur la nature électrique de son moteur. En effet, l’électricité fait partie intégrante du quotidien de tout individu. Par conséquent, l’exploitation de ces véhicules ne devrait pas rencontrer de problèmes majeurs dans la mesure où ces derniers peuvent être assimilés aux autres équipements électriques qui ne nécessitent qu’une source pour fonctionner. Enfin certaine voiture écologique comme la voiture électrique peuvent être conduite sans le permis de conduire.
Outre ces mesures, Bertrand Delanoë veut aussi limiter à 30 km/h la vitesse de circulation dans diverses zones de Paris, tandis qu'il a aussi plaidé pour que la vitesse maximale du périphérique soit abaissée à 70 km/h. Toujours au micro de RTL, le maire s'est aussi déclaré favorable à la mise en place de péages sur les autoroutes franciliennes, et non autour de Paris. Enfin, la RATP a aussi été stigmatisée : « Les bus de la RATP qui fonctionnent à 60% avec du gazole, c'est quelque chose que je n'accepte pas, et je ferai des propositions à court terme sur le sujet » a t-il promis. Le maire de Paris proposera donc au prochain Conseil de Paris (12 novembre) un vœu visant à interdire la circulation des voitures de plus de 17 ans dans la capitale française. Les motos âgées de plus de 10 ans subiraient le même sort, le tout à compter du 1er septembre 2014. Bertrand Delanoë : maire de paris pendant 13 ans, 2001-2014 Mis en place en 2008 pour soutenir l'achat de véhicules propres, ce dispositif instaurait un bonus offert à l'acheteur d'une voitures propre et un malus renchérissant l'achat d'un véhicule polluant. La percée des véhicules propres rend ce dispositif de plus en plus onéreux pour l’État. Les paramètres vont donc être modifiés afin d'équilibrer financièrement le mécanisme. Le bonus-malus écologique coûte trop cher à l’État. l’Édition «Les Échos» rapporte que dès 2015 le gouvernement va donc durcir ce dispositif afin d'en réduire la facture qui s'alourdit à mesure que les constructeurs produisent des véhicules moins polluants. Le malus sera donc durci de deux façons. D'une part son montant maximum devrait passer de 6 000 euros aujourd'hui à 8 000€, d'autre part le niveau d'émission de CO2 le déclenchant devrait être inférieur au seuil actuel, donc concerner plus de véhicules. Deux modifications qui devraient rapporter 100 millions d'euros en 2014, pronostiquent «Les Échos». Le bonus-malus écologique ou écho-bonus ou malus est une méthode fiscale de lutte contre les émissions de gaz à effet de serre visant à orienter la consommation vers l'achat de véhicules moins polluants par l'octroi d'un bonus et, inversement, à taxer l'achat des véhicules fortement émetteurs de CO2.
Les nouvelle technologie automobiles écologique permette de moins polluer en rejetant un minimum de CO2 voir pas de rejet polluant, de cette façon en vue de moins de pollutions les automobiles émettent moins de pollution. On peut le voir ici l’automobile émet le plus de CO2 . Dans un certain point de vue si l’on réduisait ces rejet de CO2 il y aurais moins a déboursé pour l’écologie. Dans ce cas présent l’État aura moins a dépenser pour l'écologie. Le rapport économique et Co2 se fais grâce au peu de CO2rejeté donc une écologie moins importante et surtout moins chère.
Conclusion[modifier | modifier le wikicode]
Pour conclure, nous pouvons confirmer que les nouvelles technologies développer dans le 21ème siècle permettent une réductions des rejets de CO2 grâce aux inventions mais aussi grâce aux innovations. On peux aussi ajouter que à l'aide de ses nouvelles technologies, nous pourront espérer une meilleure espérance de vie pour la population mondiale et donc une meilleure hygiène de vie.
Notes[modifier | modifier le wikicode]
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