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Fichier:ECOLE LA PAIX I DE Tombouctou.jpg

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ECOLE_LA_PAIX_I_DE_Tombouctou.jpg(720 × 480 pixels, taille du fichier : 91 kio, type MIME : image/jpeg)

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Description

THEME : LA Fondation de la Ville de Tombouctou

Tout d’abord, des touaregs Imagcharen, nomadisaient entre la limite d’Arouane au nord et le fleuve Niger au Sud. Pendant la saison sèche, période pendant laquelle l’herbe se faisait rare, ils descendaient dans le lit plus herbeux du fleuve pour faire paitre leurs animaux. Ils coupaient sur les dunes d’Amadia, non loin du Niger. Ils restaient là, durant tout le période de grandes canicules, jusque vers le mois de juillet. C’est ainsi que, d’après Abderrahmane Es Saadi, vers la fin du 5ème siècle de l’hégire (1100 après J.C.), ils se réitérèrent un peu plus au Nord, à l’emplacement actuel de la ville. Pendant les crues, cet endroit était relié au fleuve Niger par un défluent. Là, ils se fixèrent autour d’un puits qu’ils creusèrent eux-mêmes et l’endroit devint un campement provisoire. Pendant la transhumance vers le grand Nord, ils laissaient leurs bagages encombrants à la garde d’une vieille femme noire nommée Bouctou. Pour mieux accomplir sa tache celle-ci était aidée par quelques jeunes valides. L’endroit prit petit à petit de l’importance, à cette porte du désert. Ainsi quand ces éleveurs voulaient se rendre à ce puits et qu’on leur demandait ou partez-vous ? Ils répondaient : Nous partons à Tin-bouctou (Tin en tamasheq veut dire « lieu ou puits », Bouctou c’est le nom de la vieille femme). Tombouctou se traduit donc par « le lieu ou puits de Bouctou ».

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Actuel5 février 2024 à 20:26Vignette pour la version du 5 février 2024 à 20:26720 × 480 (91 kio)wikimediacommons>Leboua25THEME : LA Fondation de la Ville de Tombouctou Tout d’abord, des touaregs Imagcharen, nomadisaient entre la limite d’Arouane au nord et le fleuve Niger au Sud. Pendant la saison sèche, période pendant laquelle l’herbe se faisait rare, ils descendaient dans le lit plus herbeux du fleuve pour faire paitre leurs animaux. Ils coupaient sur les dunes d’Amadia, non loin du Niger. Ils restaient là, durant tout le période de grandes canicules, jusque vers le mois de juillet. C’est ainsi que, d’après...

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