Villes de Tunisie
Manouba[modifier | modifier le wikicode]
Manouba est une ville de la banlieue nord-ouest de Tunis. C’est le plus récent gouvernorat. En effet, il a été crée le 31 Juillet 2000. Sa superficie totale est de 1137 Km² soit 42,5% de la superficie du Grand Tunis et 1,12% de la superficie totale du pays.
Oueslatia[modifier | modifier le wikicode]
Oueslatia est une ville tunisienne située au nord-ouest de la gouvernerat de Kairouan, à 60 km du centre de la gouvernerat. Elle est bordée à l'est par la délégation de Sbeikha, au nord par la gouvernerat de Zaghouan, et à l'ouest par la gouvernerat de Siliana.
Soliman (Tunisie)[modifier | modifier le wikicode]
Soliman ou Slimane est une ville côtière de Tunisie située à l'entrée sud-ouest du cap Bon, au sud-est de Tunis.
Mahdia[modifier | modifier le wikicode]
Mahdia est une ville côtière tunisienne située au centre-est du pays, à environ 200 kilomètres au sud de la capitale Tunis. Chef-lieu du gouvernorat du même nom, elle constitue une municipalité comptant 51 833 habitants en 20141.
Matmata[modifier | modifier le wikicode]
Les habitants sont appelés les "Matmatis".
Les îles de Matmata sont situées à 20 km au sud ouest de Gabès. Ce sont des chaînes séparées par des ravins. Des oliviers et des figuiers se dressent majestueusement dans un même communion,discrets, dépassant toutes nos possibilités de perception sensorielle. Plus en haut, en montagne, on rencontre des berbères ayant pour village : Zéroua , Tamesredt, Toujout… Quant aux berbères arabisés, ils sont éparpillés ça et là aux flancs des montagnes leurs villages sont Toujane, Beni,Zelten... Ils habitent également des maison troglodytes. Dans les chambres, il y a de grandes curiosités : des sculptures de forme variées, finement travaillées, jouant le rôle de mobilier. Une vaisselle conçue dans la terre, nous pouvons citer celles de Béni-Aissa, de Téchine.
Gafsa[modifier | modifier le wikicode]
Gafsa est réputée pour son oasis .C’est la capitale du S.O. tunisien .C'est le témoignage vivant de la cité romain. Tamerza est un petit village et d’énormes rochers surplombent la piste qui y mène. Ceci rappelle d’ailleurs l’Aurès Algérien. Chébika est un autre petit village de construction très modeste accroché à la montagne
Tozeur[modifier | modifier le wikicode]
Tozeur est une autre région importante du sud, incrustés dans les briques des maisons la plupart des passages sont sous forme de voutes présentant ainsi un abri au promeneur égaré sous l’aridité du soleil estival . Dans une source nommée « Ras-el- aioun », une chaleur d’environ 30 degrés rappelle les eaux thermales de « Ain-essebia » à Karbaus.
Elhamma[modifier | modifier le wikicode]
Elhamma est une source renommée par ses réaux thermales. Une mosquée aghlabite de Ouled Mejed , ajoute encore à sa célébrité. Nous pouvons ici assister à des rites curieux : pour pouvoir faire monter l’eau dans les bassins, on sacrifie un mouton à Sidi-Bou- HILAL SOUS LES GRANDES imprécation d'une femme, et l'eau monte dans les bassins. la nature est toujours mystérieuse, on ne peut jamais la saisir.
Zarzis[modifier | modifier le wikicode]
Zarzis présente d’autres caractéristiques. Zarzis est située sur une presqu’île, entre la mer de Boukhara et la Méditerranée. L’irrigation se fait grâce aux puits artésiens. Au nord, elle est délimitée par EL-Kantara et, au sud par Béni-GARDANE. Zarzis fut tant glorifiée par nos meilleurs chanteurs d’EL-Atiq, sur des rythmes berçants, nostalgiques .cette région côtoie la mer.
Nefta[modifier | modifier le wikicode]
Nefta est une autre portion intéressante du sud elle compte d’innombrables source c’est, si l’on veut et d’après la nomination d’un promeneur prédécesseur, le « Kairouan du sud », car divers édifices religieux y sont insérés.
Gabes[modifier | modifier le wikicode]
Elle jouit du méme avantage que Zarzis : ses oasis sont au bord de la mer. Elle est en même temps maritime et saharienne .le sol y est riche, grâce aux eaux artésiennes .c’était, à ce qu’il semble, un comptoir phénicien. Sidi-Aboulbaba, barbier du prophète, y avait vécu jusqu'à sa mort.dans le souk de jerra, s’amassent des marchandises de toute sorte : vanneries de filioles de palmiers, bijouteries..le village type est Chenini dans lequel se trouve une source bienfaisante :elle arrose tous les champs de henné dont le parfum emplit l’air poumons. On trouve aussi des vergers touffus, du vin de palmiers ou « Legmi ».
Jerba[modifier | modifier le wikicode]
Muse de plusieurs poètes, capitale maritime, se dresse sur une grande ile . son passe historique est tissé de conquêtes, de reconquêtes , d’invasions .un de plus grands temples judaiques :une synagogue nommée « La ghriba ».
Dans le temps, jerba s’appelait ile de Minninx , compte 284 mosquées et Zéouias dont l’architecture est différente de celles de Tunis ou de Kairouan .
Testour[modifier | modifier le wikicode]
Dés l’entrée de Testour ( située à 66 km de Tunis ) se dresse majestueusement à notre droite une mosquée dont les pierres apparentes semblent sous l’éclat de la lumière éparse, souhaiter bienvenue, en vue d’oublier à tastour tout le coté malsain de l’essor urbain .donc .premier réveil après le vrombissement du moteur .dans le fragile silence de la nuit .loin très loin dans un projecteur assommant , une troupe de musiciens s’aligne dans des jebbas toutes blanches , des chéchias rouges et pour compléter le décor , un bouquet de jasmin placé sous la chéchia, derrière l’oreille.le Malouf prenait des mesures de plus en plus grandes ; il s’imposée comme s’était imposée.
Tabarka[modifier | modifier le wikicode]
Si Bizerte est la princesse du nord tunisien, Tabarka en est la reine car dans le nord plus en avance plus en découverte de merveilles . Tabarka est située à 138 km de tunis. Avant de surprendre la ville , on suit une route tortueuse , verdoyante, touffue , des ravins vretigineux .Tabarka jouit d’une multitude de foret, dont la principale, reste le chêne-liège. Tabarka , ancien comptoir phénicien a un port de pèche assez important Tabarka est aussi le coin propice pour la chasse au sanglier , la chasse au canard et la chasse de la bécasse.
Ain-Drakam[modifier | modifier le wikicode]
C’est là que l’on se sent le plus dépaysé : on se croirait volontiers dans certains villages alpestres .Tout y est des toits rouge-brique éparpillés dans la foret , au froid glacial qui pénètre à travers les pores et au-delà même mais dans le souks , on se retrouve sa chère Tunisie, avec ses borderies, ses poteries et toutes ses particularités
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