Eugénie Niboyet
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Eugénie Niboyet, de son nom de naissance Eugénie Mouchon, est une écrivaine et militante féministe française, née le 10 septembre 1796 à Montpellier et décédée le 5 janvier 1883 à Paris.
Ses œuvres[modifier | modifier le wikicode]
Arrivée à Paris le 4 novembre 1829, elle commence à gagner sa vie avec l’écriture. En 1830, elle participe au concours de la société de la morale chrétienne1 sur le thème « Des aveugles et de leur éducation ».
Elle se rapproche du mouvement de Charles Fourier et y rencontre Flora Tristan.
En 1833, elle lance son premier journal féministe en province : Le conseiller des femmes. En 1836, elle fonde la Gazette des femmes avec l'aide de Charles Frédéric Herbinot, qui rassemble des femmes pour des réunions hebdomadaires du jeudi. Le 7 juillet 1838, elle obtient un brevet d'invention de 10 ans pour une encre indélébile.2
En 1848, dans La Voix des femmes, elle publie sa profession de foi.
En 1860, elle revient en France après s’être retirée de la vie publique pendant trois ans à Genève, où elle traduit des œuvres de Charles Dickens et des livres pour enfants de Maria Edgeworth. Elle publie Le vrai livre des femmes.
La reconnaissance de son œuvre[modifier | modifier le wikicode]
En 1878, elle est célébrée au congrès féministe de Paris.
Durant sa vie, Eugénie Niboyet fait partie des figures les plus influentes de son époque vu qu'elle réussit à créer des ouvrages comme la Gazette des femmes, Le vrai livre des femmes, Le conseiller des femmes.
Elle décède le 5 janvier 1883 à Paris.
Références[modifier | modifier le wikicode]
Bibliographie[modifier | modifier le wikicode]
- Le Féminisme sous la monarchie de juillet. Les essais de réalisation et les résultats.
- Eugénie Niboyet sur Wikipédia.
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