Cité-État
Une cité-États dans l'Antiquité est un territoire qui a une ville fortifiée (entourée de remparts) et les campagnes qui entourent cette ville. Elles sont dirigées par un Roi. Il y a des habitations, des temples, un palais. Les habitants peuvent être les agriculteurs des champs qui entourent la cité, des artisans, des soldats et des prêtres. Elles étaient souvent exposées face à la mer. Chacune de ces grandes villes grecques possédait sa propre monnaie et ses propres lois, comme Phocée, Athènes, Thèbes, Ur....
Mésopotamie Antique[modifier | modifier le wikicode]
Le mots de cité-État est appliqué aux très petits États qui se partageaient la Basse-Mésopotamie pendant les dynasties archaïques (2900-2340 av. J.-C.). Ce sont de petits royaumes indépendants qui exploitent un territoire. Elles sont dirigées par un roi et ont leurs propres institutions. Les principales cités-États étaient Ur, Uruk, Lagash, Kish, Mari, Umma.
Grèce Antique[modifier | modifier le wikicode]
Lors de l'Antiquité, la Grèce était fractionnée en un millier de cités-États. Souvent les cités-mères fondaient des colonies (en Grande Grèce) ; un exemple connu : Marseille a été fondée par des grecs de Phocée.
Europe[modifier | modifier le wikicode]
En Europe, au Moyen Âge ; de nombreuses cités-États se sont développées notamment en Italie (Venise, Pise, Amalfi, Gênes).
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