Alphonse Allais

Une page de Vikidia, l’encyclopédie junior
Aller à la navigation Aller à la recherche
Alphonse Allais

Alphonse Allais est un journaliste, écrivain et humoriste français né le 20 octobre 1854 à Honfleur (Calvados) et mort le 28 octobre 1905 à Paris.

Il est surtout connu pour ses jeux de mots et son humour absurde.

Citations[modifier | modifier le wikicode]

  • « Il est toujours avantageux de porter un titre nobiliaire. Être de quelque chose, ça pose un homme, comme être de garenne, ça pose un lapin. »
  • « Mon seul regret est de ne pas avoir pu réconcilier les œufs brouillés. »
  • « Une petite femme que je rencontrai au Divan Japonais me parut la coalition même de toutes les perfections et de toutes les grâces. »
  • « Je ne suis pas de ceux qui s'imaginent qu'ils n'ont qu'à ouvrir la bouche pour que les alouettes y tombent toutes rôties... Non, mais tout de même, j'ouvre la bouche de temps en temps. »
  • « Aimez-vous les inventeurs ? Moi, j'en raffole, alors même qu'ils n'inventent rien, ce qui est le cas de presque tous les inventeurs. J'aime leur idée fixe, le feu qui brille en leurs prunelles, leur mise débraillée. »
  • « Faire la charité, c'est bien. La faire faire par les autres, c'est mieux. On oblige ainsi son prochain, sans se gêner soi-même. »
  • « L'avantage des médecins, c'est que lorsqu'ils commettent une erreur, ils l'enterrent tout de suite. »
  • « La mort est un manque de savoir-vivre. »
Portail de la littérature —  Tous les écrivains et poètes, romans et romanciers, BD et bédéistes…