Acrobate
Le mot acrobate vient du grec « Akrobatos » qui signifie « celui qui marche sur les extrémités », une personne qui a de l'équilibre. Le mot « acrobate » a d'abord été utilisé pour parler des danseurs, des sauteurs, des funambules puis toutes les personnes qui font des tours qui demandent de l'agilité, de la force et de l'adresse, comme le cavalier, le clown, l'équilibriste etc.
Histoire[modifier | modifier le wikicode]
Les acrobates existent depuis très longtemps, mais leur entrée au cirque n'est pas très ancienne. Au départ, ils faisaient leurs tours en Égypte, en Chine ou encore dans les cirques de Rome et sur les foires à l'époque du Moyen Âge. Au XVIIIe siècle, les acrobates arrivent sur la piste avec le cirque de Philippe Astley.
Exemples d'acrobaties[modifier | modifier le wikicode]
Le trapèze volant[modifier | modifier le wikicode]
Il a été inventé par un gymnaste toulousain en 1859. On peut faire de la voltige grâce au trapèze volant : il faut sauter d'un trapèze à l'autre. Le voltigeur peut aussi être rattrapé par un porteur qui se tient suspendu à un autre trapèze.
Le trapèze Washington[modifier | modifier le wikicode]
Au milieu de la barre, il y a ce qu'on appelle « une assiette ». Grâce à cela, on peut réaliser des exercices acrobatiques fous : être en équilibre sur la tête, jouer de l'accordéon la tête en bas , etc.
Les contorsionnistes[modifier | modifier le wikicode]
Au début, ils faisaient des spectacles dans des foires ou au music-hall. Les contorsionnistes font des exploits surhumains. Nous avons par exemple Miss Dora qui, dans les années 1950, faisait un numéro spectaculaire : elle entrait dans un cube de 43 cm de côté alors qu'elle mesurait 1,50 m et pesait 47,5 kg.
Source[modifier | modifier le wikicode]
Karine Delobe, Le cirque, Coll. Histoire d'un Art, éd. Pemf (2001).
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