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Parc national de la Vanoise

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Une vallée dans le massif de la Vanoise

Le parc national de la Vanoise est le premier parc national de France. Il a été créé le 6 juillet 1963. Son objectif initial est de protéger le Bouquetin. Depuis la protection de la nature a beaucoup évoluée (loi de protection de la nature en 1976, décrets de protection des espèces, etc.). Le Gypaète barbu qui a été réintroduit dans les Alpes dans les années 80 s'est installé pour se reproduire en Vanoise. Les gardes-moniteurs du parc national assurent un programme de suivi de cette espèce.

Ce parc est situé en Savoie, dans le prolongement d'un parc italien : le parc national du Grand Paradis (réserve royale fondée en 1856). En 1972, les deux parcs vont s'associer pour former le plus grand parc d'Europe (avec une superficie de 1 250 km2). Le parc de la Vanoise est dominé par la Grande Casse (3 855 m).

Le parc est divisé en deux zones :

  • une zone à réglementation spécifique « cœur de parc » ;
  • une aire d'adhésion composée des communes qui ont adhéré à la charte du parc.

Le logo du parc est celui des parcs nationaux : une spirale en mouvement symbolise la vie présente dans tous les parcs nationaux de France. Si on l'observe attentivement, on découvre à l'intérieur de cette spirale des silhouettes et parmi elles, les principaux animaux et végétaux présents dans le parc de la Vanoise.

Situation géographique et accès[modifier | modifier le wikicode]

plan du parc national de la Vanoise

Le parc national de la Vanoise doit son nom au massif de la Vanoise. Le parc se trouve au centre du massif, délimité au nord par l'Isère et au sud par l'Arc.

L'atout de ce parc est sa situation géographique qui le rend très accessible :

  • pour se rendre au Sud du parc : suivre l'autoroute A43 en venant de Chambéry ou d'Alberville jusqu'à Modane puis emprunter la D902 ;
  • pour se rendre au Nord du parc : suivre l'autoroute A43 jusqu'à Alberville puis prendre la N90 et la D902.

Ainsi, il est possible de faire le tour complet du parc en franchissant le col de l'Iseran (2 770 m). Le parc est donc facile d'accès de la France mais aussi de l'Italie, soit en partant de Turin et en passant par le Tunel de Fréjus ou le Col du Mont Cenis (2 083 m) ; soit en partant d'Aoste par le Col du Petit St-Bernard (2 188 m).

Ses coordonnées géographiques sont environ : 45°20′N 6°50′E / 45.333, 6.833.

Une trace de l'histoire[modifier | modifier le wikicode]

La Savoie, au fil des siècles, a souvent été l'objet de convoitise de la part : des français, des germains, des espagnols et des autrichiens qui souhaitaient s'assurer le passage des Alpes. Le premier duc de Savoie est Amedée VIII en 1416 ; il possède le passage des Alpes vers l'Italie, la Suisse et la France. Par la suite la Savoie passera son temps à changer de nationalité.

Quelques dates :

  • 1562 Turin devient la capitale du Duché de Savoie qui s'appelle la maison de Savoie
  • 1630 la Savoie redevient française avec la duchesse Christine de France
  • 1742 elle est occupée par les troupes espagnoles
  • 1792 elle est envahie par les troupes françaises et redevient française jusqu'en 1815 puis est de nouveau italienne, rattachée au royaume de Sardaigne.
  • L'annexion à la France se fait par le traité de Turin en 1860.

Tous ces épisodes d'invasions ont marqué le paysage notamment par la construction de forts.

Entre 1813 et 1833, on construit les forts de l'Esseillon :

le fort Marie-Christine (qui est devenu aujourd'hui un refuge avec restaurant), le fort Charles-Albert qui était relié au fort Marie-Christine, le fort Charles-Félix (localement appelé « fort démoli » car Charles-Félix y a été anéanti par Napoléon III), le fort Victor-Emmanuel-Ier (le plus important de l'époque puisqu'il pouvait accueillir une garnison de 1 500 hommes), le fort Marie Thérèse (qui a la particularité d'être en forme de fer à cheval)

puis entre 1870 et 1890 du côté italien autour du mont Cenis, les forts : Cassa, Variselle, Pattacreuse, Malamot, Ronce et du côté français : les forts du Mont-Froid, du pas de la Beccia, Turra.

On peut aussi rencontrer aujourd'hui des vestiges des mines de plomb et d'argent qui ont été exploitées entre le XVIIe et le XIXe siècle ; notamment dans la vallée de Peisy-Nancroix mais également dans le vallon du Saut. Il s'agit surtout des installations qui servaient à extraire, laver et fondre le minerai.

Au sujet de l'étymologie de « Vanoise », un chanoine : Adolphe Gros (1864-1945) indique avoir retrouvé une mention d'une vallée « vallis noisy », dérivant de « vallis noxia » sur un fragment de charte découpée du XIVe siècle, ce qui renverrait à la notion d'une vallée sombre et dangereuse. En effet on trouve dans le dictionnaire Godefroy le nom val, vau pour désigner « le bas d'une chose » et par extension une vallée ainsi que l'adjectif noxal pour « qui concerne un tort, un dommage »1.

Géographie et paysages[modifier | modifier le wikicode]

Le Lac du Plan du Lac ; accès depuis Termignon

L'aire optimale d'adhésion s'étend sur une superficie de 1 465 km2 et son cœur sur 535 km2.

L'aire optimale d'adhésion compte 29 communes essentiellement tournées vers le tourisme et encadrées par deux vallées : la vallée de la Tarentaise et celle de la Maurienne. C'est dans cette zone que se trouve l'ensemble de la population (36 900 habitants en 2013).

Le cœur du parc offre une multitude de paysages en fonction de son altitude qui varie entre 3 855 m pour le massif de la Grande Casse et 1 280 m. Il est occupé par :

  • des forêts (sur 4,22 km2)
  • des alpages (321,32 km2)
  • des lacs2 (0,81 km2) répartis sur 16 communes. Généralement, ces lacs ont pris naissance lors du retrait des glaciers (il y a plus de 20 000 ans) ou se sont formés lors des effondrements de terrains qui ont entraîné la création de cuvette.
  • des rochers (148,79 km2)
  • des glaciers (53,25 km2) dont celui de la Grande Casse à 3 855 m d'altitude, escaladé pour la première fois le 8 août 1860 par William Mathews, Michel Croz et Etienne Favre ; celui de la Dent Parrachée (3 697 m) franchi pour la première fois en 1862 par des chasseurs de Modane ; le Mont Pourri ( 3 779 m), franchi le 4octobre 1861 ; la Pointe de l'Echelle (3 422 m).

Il n'y a pas d'habitants permanents dans cette zone.

Activités humaines[modifier | modifier le wikicode]

La zone « cœur de parc »

Dans la zone du « cœur du parc », la faune et la flore sont protégées. Cette zone est en grande partie une zone de pâturage et du 15 juin au 15 septembre, les bergers y montent leurs troupeaux.

Les principales bêtes qui viennent profiter des alpages sont :

  • des vaches, en particulier : les abondances et les tarines qui doivent leurs noms aux lieux dont elles sont originaires (le val d'Abondance dans la région du Chablais et La Tarentaise).
  • des moutons qui jouent un rôle très important dans l'entretien des pâturages ;
  • des chèvres, en particulier : les alpines (d'origine savoyarde, à la couleur chamoisée), la chèvre de Savoie (à la robe noire) et la saanem (originaire de la région de Saanem en Suisse).

La présence des troupeaux nécessite une cohabitation et un partage des espaces avec les habitants naturels des lieux notamment les marmottes qui convoitent les mêmes pâturages et les loups qui sont revenus depuis l'Italie.

Lorsque le promeneur monte en altitude, il dépasse de nombreuses bergeries ou d'anciens villages de bergers abandonnés. En effet, pendant longtemps, les hommes ont gardé leurs bêtes puis la disparition progressive des prédateurs de troupeaux (loups, ours...) a changé leurs pratiques. Aujourd'hui, les troupeaux sont la plupart du temps laissés sous la protection des chiens : les Patous qui ont pour mission d'éloigner tout intrus, prédateurs et randonneurs.

Dans l'aire optimale d'adhésion

On compte de nombreuses installations de productions agricoles qui travaillent le lait (notamment sur les communes d'Aussois, de Bessans). Deux grandes coopératives en Haute Maurienne, recueillent le lait qui est destiné à la fabrication de fromages : Beaufort (qui bénéficie depuis 1968 d'une Appellation d'Origine Contrôlée et qui est le produit phare de la région), Bleu de Bonneval, Tomme de Savoie et différents autres fromages de chèvres et de brebis.

Pour que les exploitations agricoles ne polluent pas l'Arc, on trouve des fumières collectives (notamment à Aussois, Termignon et Bessans) : ce sont des lieux de stockage des déjections animales qui recueillent en hiver les fumiers et les transforment en lisier qui est ensuite épandu (déversé) sur les champs au printemps et en automne.

Une importante partie de l'aire optimale d'adhésion est occupée par les pistes de ski. Le tourisme estival et hivernal s'y est fortement développé. On peut, quelle que soit la saison, y pratiquer de très nombreux sports : randonnée, parapente, ski de fond, ski de piste, descente en rafting, canyoning, via ferrata... et de nombreuses remontées mécaniques jalonnent le paysage.

Dès les années 1960, la « houille blanche » (c'est-à-dire l'énergie produite par les chutes d'eau), a permis un boum de l'industrialisation des vallées de la Savoie. En Vanoise, des barrages (Tignes, La Sassière, Aussois, mont Cenis, Saut... ) permettent de produire de l'électricité grâce aux centrales hydroélectriques (Pralognan la Vanoise, Champigny en Vanoise, Champagny-Ballandaz, Bozel, Vignotan, Brides les Bains, Moûtiers, Plomblière, Malgovert, Viclaire, Val d'Isère).

La faune et la flore : une répartition qui n'est pas due au hasard[modifier | modifier le wikicode]

Article à lire : Étagement de la végétation.

La faune et la flore se répartissent en fonction de l'altitude et donc des températures ; les espèces sont ainsi très diversifiées et il est impossible d'en faire ici un relevé complet.

Les particularités de la flore

Le massif de la Vanoise comprend quatre étages de végétation :

  • le collinéen au dessous de 800 m avec essentiellement des chênes, des saules et des châtaigniers ;
  • le montagnard entre 800 et 1 500 m où l'on trouve des hêtres et des pins sylvestres ;
  • le subalpin entre 1 500 et 2 000 m, on n'y trouve plus que quelques aulnes verts qui finissent par laisser place à de nombreuses variétés de résineux (conifères) : mélèzes, pins à crochets, épicéas..., et des prairies subalpines ;
  • l'alpin au dessus de 2 000 m avec ses landes (rhododendron, genévrier, myrtilles...) et ses pelouses alpines.

Le cœur du parc regroupe essentiellement les deux derniers étages : subalpin et alpin.

Malgré l'altitude, on trouve encore 1200 espèces dont 53 sont protégées.

Les plantes ont dû s'adapter à des conditions de vie difficiles, entre un sol pauvre souvent constitué de rochers calcaires ou siliceux et des conditions climatiques dures.

Au dessus de 2 000 m la neige est présente presque 7 mois et les températures peuvent descendre jusqu'à −30 °C mais dans la journée, selon l'orientation, il peut faire, à 2 500 m, 51 °C au soleil et 6 °C à l'ombre.

On trouve aussi en altitude des zones humides. Ce sont des prairies humides, des tourbières ou des berges de lac qui ont aussi leur flore particulière en fonction de leurs températures.

Lorsque ces lacs sont encore en contact avec un glacier, on y trouve peu de vie. Par contre les lacs de pelouse possèdent eux une très grande variété de végétation dont même des plantes carnivores : les grassettes.

Parfois le sous-sol imperméable de certaines cuvettes, qui se sont remplies d'eau de pluie ou de glacier, amène le lac à se transformer au fil des siècles en tourbières.

Zone de tourbières dans le cœur du parc national de la Vanoise

Dans un premier temps, les bords de la cuvette sont colonisés par des plantes aquatiques (plantes qui vivent dans l'eau): des roseaux, des laîches qui s'étendent à la surface de l'eau. Avec le temps, l'eau qui stagne et qui est recouverte de ces végétations n'est plus oxygénée, les plantes se décomposent. Par dessus viennent alors s'installer des sphaignes (latin : Sphagnum ; famille des mousses) et des linaigrettes vaginées ( latin : Eriophorum capitatum ) qui continuent ce travail de décomposition végétale et de formation de tourbe.

De nombreuses espèces animales protégées

On retrouve pour la faune, le même principe de répartition étagée que pour la flore :

On trouve aussi de nombreux amphibiens qui occupent les zones humides ainsi que des insectes.

Tout comme la flore, la faune doit s'adapter au froid, à la neige et au manque d'air et d'oxygène. C'est la raison pour laquelle par exemple le chamois possède un cœur et des poumons plus gros que la moyenne des mammifères.

Les animaux font leur réserve de graisse pendant l'été et possèdent une épaisse fourrure ou des plumes plus fournies.

Les lièvres ou les hermines changent de couleur l'hiver pour se protéger des prédateurs et se fondre avec la neige. Certains animaux comme la marmotte hibernent.

Certains de ces animaux avaient totalement disparu. Le parc national de la Vanoise a permis de les sauver.

Le bouquetin, a été longtemps considéré comme un gibier très intéressant et très facile à approcher ; il a fini par être totalement éradiqué dans la région, chassé pour sa chair. De plus, l'homme lui prêtait des vertus médicinales (on faisait par exemple une poudre de ses cornes pour lutter contre l'impuissance) et une superstition entourait le cartilage en forme de croix qu'il possède dans le cœur et dont on pensait qu'il permettait d'éloigner les mauvais esprits. Aujourd'hui, 7 300 bouquetins vivent en Vanoise (les deux parc confondus car ils ne connaissent pas les frontières).

Gypaète barbu aperçu dans le parc national de la Vanoise

Le gypaète barbu qui avait été victime d'une fausse réputation, avait lui aussi disparu car on le soupçonnait d'enlever des agneaux et même des enfants. Il avait totalement disparu et on compte aujourd'hui 7 ou 8 couples dans le parc.

Le loup n'a pas été réintroduit en Vanoise, mais comme il était présent en Italie, il est en train de re-coloniser les Alpes.

Les règles mises en place pour sa protection[modifier | modifier le wikicode]

règlement du parc de la Vanoise

Les missions du parc sont :

  • la protection de l'environnement,
  • l'accueil des touristes,
  • une participation au développement local.

Le fait de devenir parc national implique le respect d'une réglementation pour protéger la nature et éviter que l'homme (et ses constructions) ne viennent abîmer les lieux ou empêcher la nature d'évoluer par elle-même.

Cette réglementation est plus souple dans l'aire optimale d'adhésion afin que les activités économiques puissent se développer mais, est très rigoureuse dans le cœur du parc : pas de chiens, de cueillettes de chasse, de feu, de bruit, de bivouac, de déchets, de voiture, de vélo, de parapente et obligation de respecter le tracé des chemins.

Les métiers du parc[modifier | modifier le wikicode]

Tous les jours, le parc est sillonné par des gardes-moniteurs. Le parc est divisé en 6 secteurs et chaque secteur compte environ 30 gardes (permanents ou saisonniers). Leur fonction principale est la surveillance et l'observation de la nature.

Ils passent leur journée à parcourir de long en large le parc et observent la nature, font des statistiques, des mesures, des repérages. Ils font connaître tout ce qui vit dans le parc. Ils veillent et assurent le bon état des sentiers mais également des refuges et des abris.

Ils ont la possibilité de dresser des contraventions s'ils rencontrent des randonneurs qui contreviennent au règlement du parc. Les moniteurs sont là aussi pour faire connaître et aimer la nature. Ils répondent donc aux questions des randonneurs.

Affichages au cœur du parc de la Vanoise

Loin d'être de tout repos, ils pratiquent un métier à risque car ils passent six mois de l'année dans la neige, le long de sentiers escarpés, à la merci des avalanches et des plaques à vent.

Ils sont aidés dans leur tâche par la gendarmerie qui survole en hélicoptère le parc et qui surveille le respect du code aéronautique : le survol du parc doit se faire à plus de 12 500 pieds et les parapentes ou tout autre sport aérien sont interdits à moins de 1 000 m du sol.

Parmi les rares hommes qui vivent sur le site, on trouve les gardiens des refuges de montagne qui accueillent skieurs, randonneurs et alpinistes.

Les refuges ne sont pas des hôtels et il faut donc se plier au règlement : on circule à l'intérieur du refuge en sabots prêtés par celui-ci, on arrive avec son couchage et on redescend ses détritus.

Le refuge est un lieu de repos où l'on peut se restaurer. Les gardiens des refuges connaissent les itinéraires et peuvent conseiller les randonneurs et leur faire partager leur passion et leurs connaissances des massifs.

Article à lire : Refuge de montagne.

Randonnée dans la Vanoise[modifier | modifier le wikicode]

Le parc national de la Vanoise se découvre souvent en y faisant des randonnées.

Le milieu montagnard présente quelques risques et une randonnée demande un certain équipement et doit être préparée.

Article à lire : Randonnée en montagne.

Il est interdit de bivouaquer dans le parc, donc si on part plusieurs jours, il ne faut pas oublier de prévenir voire de réserver dans un refuge.

Les menaces actuelles[modifier | modifier le wikicode]

Les menaces actuelles sont avant tout liées au développement du tourisme :

  • l'équilibre est fragile entre les activités liées au tourisme des stations de ski et le respect des règles de protection de la nature ;
  • on déplore progressivement une perte des terrains agricoles, au profit des implantations des stations de ski.

Une autre menace est les effets du réchauffement climatique : les changements climatiques ont un impact sur la fonte des glaciers, les durées d'enneigement et sur le cycle de l'eau. Cela implique à long terme des conséquences sur la biodiversité des Alpes (animaux, végétaux) mais également les habitudes pastorales et les pratiques agricoles.

Depuis 2010, le parc national de la Vanoise a lancé une grande étude : il s'agit du programme des « alpages-sentinelles » qui sont réparties sur 10 zones dans lesquelles on mesure la durée du maintien du manteau neigeux au fil des saisons.

les sources utilisées[modifier | modifier le wikicode]

Notes de référence :
  1. dictionnaire (d'ancien français) Godefroy http://micmap.org/dicfro/search/dictionnaire-godefroy/
  2. [1]
Sites sur le parc national de la Vanoise
Dictionnaires et encyclopédies
  • Bibliographie sur la Savoie et le parc national de la Vanoise :
  • Découvrir la Savoie, Bernard FLEURET Jean-Louis HEBRARD ; éditions du Parc Horvath 1990
  • Découvrir l'histoire de la Savoie, Aristide Béruard Alain Favre, Marius Hudry, Juliette Chatel ; centre de la culture savoyarde 1989
  • Fleurs de Savoie, Robert FITSCH ; éditions SAEP Colmar-Ingersheim 1973
  • Flore protégée de Savoie, les richesses naturelles du département de la Savoie, conseil général de la Savoie 1993
  • Savoie éternelle, Valérie d'Amboise ; éditions d'Amboise 1987
  • le livre blanc de la faune de la Savoie, CORA Savoie 2000
  • savoie, richesse de france, C.A.E.L. édition J. delmas &cie 1972
  • savoie, Christian Zarka ; édition Chêne, Christian Zarka 1990
  • Altitudes de Vanoise ; à la découverte d'un parc national, Eric Merlen ; édition Didier Richard, 1997
Pour aller encore plus loin
Article mis en lumière la semaine du 10 mars 2014.
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45°20′N 6°50′E / 45.333, 6.833