Neurotransmetteur

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Un neurotransmetteur, ou neuromédiateur, est une substance chimique produite par les neurones et qui permet à un neurone de transmettre une information à un autre au niveau d'une synapse à l'extrémité d'un axone.

Exemples[modifier | modifier le wikicode]

Voici une petite liste (non-exhaustive) de neurotransmetteurs :

  • l'acétylcholine, qui provoque la contraction des muscles.
  • le GABA (acide gamma amino butyrique)
  • le glutamate (acide glutamique)
  • la noradrénaline
  • la dopamine essentiels pour les actions, les prises de risques, les motivations et mouvements et qui manque dans la maladie de Parkinson
  • la sérotonine gère l'humeur et diminue la prise de risque qui est antagoniste opposée à la dopamine, elle sert dans l'intestin, contracte les vaisseaux sanguins.

Il existe environ plus de 100 neurotransmetteurs identifiés avec de nouveaux découverts souvent, probablement plus de 300, dans des interactions chimiques et électriques très complexes loin d'être bien comprises entre nos 100 milliards de neurones via les synapses des neurones.

Mode d'action[modifier | modifier le wikicode]

Lorsqu'un potentiel d'action arrive au niveau d'une synapse, les neurotransmetteurs sont relâchés dans la fente synaptique. Ils agissent en se fixant sur leurs récepteurs : la liaison provoque un signal de membrane à la surface du neurone. Si ce signal est assez fort, un potentiel d'action se déclenchera et partira sur l'axone.

Codage neuronal[modifier | modifier le wikicode]

Le codage neuronal pour transmettre en impulsions de potentiels est très complexe, difficile à comprendre bien plus que des codes secrets informatiques bancaires, avec des fréquences et modes d'impulsions mystérieuses, codées en fréquence, codées en moments et déphasages des impulsions, même formes des impulsions pour une seule impulsion, comme utile et rapide dans l'orientation des sons déterminés par nos oreilles et notre cerveau.

Voir sur wikipedia "Codage neuronal" en français et anglais pour ce mystère quasi total, qui permet au cerveau avec des fréquences basses de dizaines de Hertz d'être énormément plus performants que nos ordinateurs ou réseaux de pseudo neurones informatiques eux rudimentaires, mais à des fréquences de Giga Hertz, 10 à 100 millions de fois plus rapides.

"Le cerveau doit utiliser une capacité supplémentaire dans son code" à découvrir pour les siècles futurs.

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